Dans la nuit, des morts,
ils n'étaient pas armés.
Leur tort était d'avoir cru en l'humanité.
Ils étaient partis sur des navires
pour éviter le pire.
Ils voulaient rompre l'embargo
et pas mourir dans les flots.
Leur coeur battait pour Gaza
qu'ils pensaient trouver là bas.
Ils étaient partis dans la nuit
sans le moindre bruit.
Ils ne verront pas la Palestine
ni les fleurs d'églantine
que les enfants avaient préparé pour eux.
Malgré leurs voeux,
il n'y aura personne pour les sentir.
On ne pourra longtemps leur mentir.
il faudra bien leur dire un jour
que le monde ce jour là était rester sourd,
que ,n'était pas, l'humanité
au rendez vous de la solidarité,
au rendez vous de la solidarité,
qu'on a préféré briser un rêve
qu'accomplir une trêve.
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