A toi Palestine
J’ai mis le cap sur la Palestine,
Qui, parmi ses soupirants, m’accompagne ?
Jusqu’à quand regarder la plaie qui saigne
Et assister au soleil qui s’incline.
Je n’ai jamais eu le sommeil tranquille
Depuis qu’on a fusillé Imen.
Déprimé et fouetté par la gène,
Je ne peux plus supporter mon asile.
Je veux goûter aux pommes ensanglantées
Et grimper le Mont des oliviers.
Que m’importe si je perds les deux pieds,
Quand je verrai son beau drapeau planté.
Adieu plaisirs passagers de la vie,
Bonjour sacrifices pour la patrie,
Quand mon cousin pleure alors que je ris,
Je ne peux être de ma vie ravi.
J’aime que règne la paix, Palestine !
Hélas ! Le terrain me dit le contraire
Alors , je veux la faire cette guerre
Ou tu renais ou l’on me piétine.
Qui, parmi ses soupirants, m’accompagne ?
Jusqu’à quand regarder la plaie qui saigne
Et assister au soleil qui s’incline.
Je n’ai jamais eu le sommeil tranquille
Depuis qu’on a fusillé Imen.
Déprimé et fouetté par la gène,
Je ne peux plus supporter mon asile.
Je veux goûter aux pommes ensanglantées
Et grimper le Mont des oliviers.
Que m’importe si je perds les deux pieds,
Quand je verrai son beau drapeau planté.
Adieu plaisirs passagers de la vie,
Bonjour sacrifices pour la patrie,
Quand mon cousin pleure alors que je ris,
Je ne peux être de ma vie ravi.
J’aime que règne la paix, Palestine !
Hélas ! Le terrain me dit le contraire
Alors , je veux la faire cette guerre
Ou tu renais ou l’on me piétine.
(mohamed-ghannem)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire