Lorsque le sang du pays se tait
L’enfant quitte son cadavre
Et le secoue
Pour le débarrasser de la poussière
Du chemin de l’école
Et des bonbons se trouvant dans les poches.
Il plante dans la hanche du fleuve
De maigres rendez-vous
Et des périphrases
Des trous desquelles
S’envolent les mères
Des ombres suspendues par Mona Al-Assi poétesse palestinienne
L’enfant quitte son cadavre
Et le secoue
Pour le débarrasser de la poussière
Du chemin de l’école
Et des bonbons se trouvant dans les poches.
Il plante dans la hanche du fleuve
De maigres rendez-vous
Et des périphrases
Des trous desquelles
S’envolent les mères
Des ombres suspendues par Mona Al-Assi poétesse palestinienne
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